Prologue:
Chacun se souvient du Tchernobyl du vol en classe "first" lors du vol aller, considérant que j'ai peut-être eu mon lot d'incidents sur les vols d'approche je garde un petit espoir.Nousarrivons trop rapidement depuis le 2G curieux parce qu'en bus on al'impression que ce terminal est dans la pampa.
La carte du petit déjeuner A l'ouest rien de nouveau
Je tue le temps au spa avec un bien agréable massage.
11.30 l'heure des braves
Le filet nu interdit au moins de 18 ans.
Monseigneur Thomas accompagneson filet de quelques copeaux de parmesan
Comme monseigneur est partageuril gâte son Jacquouille
Je n'avais pas apprécié il y a 5 ans ce plat qui était alors quasi un bouillon cette fois peu de liquide et le conté est partiellement fondu. Un délice même si je regretterai les tranches de truffes qui y étaient à l'époque.
Crème glacée au vrai praliné et à l'hibiscus servie àla bonne température un délice.
Armagnac
Il est temps d'aller se reposer un peu mais on est ici sur un point faibledu salon inconfortable (les deux lits de camp au fond sont moins mal) bruyant (clim et personnel qui papote) et peu privatif.
Un autre point pas vraiment super: la vue.
20.30 on y va sans prendre le diner pour profiter de celui servi en vol.
========== La Première Air France ==========
Summary:
Un bon vol (et c'est heureux) avec quelques petites faiblesses (nul n'est parfait) et un grand merci à notre hôtesse, efficace, stylée, avec un sens de l'humour; ce fut un agréable moment.Vol retour avec BA en First, sera-t-il aussi bien?
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